Sujet: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 20:22
Caleb Eden Cale
ft. Ash Stymest
21 ans ♣ 18 janvier ♣ Brixton, Angleterre ♣ 2nde année d'art/tatoueur ♣ disorder.
who are you ?
« I'm only human. »
Froid. Distant. Solitaire. Limite arrogant. C'est ce que les gens pensent en premier quand ils observent le jeune homme. Derrière ce regard bleu se cache le démon, vous dirons les foyers qui l'on accueillis ou même les familles, que ce fut pour un court séjour ou non. Le caractère du jeune tatoué est assez aléatoire; très lunatique, il change d'humeur en quelques secondes, la preuve en est son comportement avec Chocolate. Il préfère se faire discret et observer les gens, afin de mieux les détruire par la suite. S'il le faut, il va passer des heures à zoner sur un banc, analysant le comportement des gens qui passent devant lui, pour les dessiner par la suite. Même s'ils lui sont inconnus, le dessin reste une passion pour lui et ça, rien ne peut l'arrêter. Très têtu, il vaut mieux éviter d'aller à l'encontre de ses idées ou paroles car il peut par la suite devenir très violent. Sous ses airs calmes, Caleb ne l'est pas tant que ça. Il peut être très impulsif, méchant, blessant, il prendrait presque du plaisir à faire souffrir les autres et à les manipuler; vous me direz, il faut bien s'occuper comme on peut non ? Ah, et une dernière chose : ne vous attendez pas à ce qu'il vous saute dans les bras en vous couvrant d'amour et en vous disant "je t'aime". Il croit pas en tout ça, du moins, il n'a pas trouvé la personne qui a réussi à lui soutirer ces deux mots. Prenez un ticket et tentez votre chance pour un tête-à-tête avec le diable.
body can be a weapon
« I'm sexy and I know it. »
Caleb ? Ah, vous parlez du mec qui est assis sur le banc là-bas et qui nous dévisage ? Pas compliqué de le reconnaître de toute façon : il est couvert de tatouages, de la tête aux pieds, vous pouvez pas le rater. Tatouer c'est son job et le dessin c'est sa passion, alors forcément il passe le plus clair de son temps dans ses dessins. Enfin, passons. Il est grand, toisant environ 1m86. Aux premiers abords vous allez vous dire "qu'est-ce que c'est que ce gringalet ?" hé bien méfiez-vous, il a beau ne pas être une montagne de muscles, il n'est pas non plus taillé comme une armoire à glace, mais, on ne sait pas d'où il puise sa force. Il a un teint plutôt blafard, contrastant avec ses cheveux noirs et ses yeux. Tiens, parlons-en de ses yeux, vous en avez déja vu des yeux aussi bleus, passant d'un bleu clair, presque morbide à un bleu très foncé, presque noirs. Qui trahissent souvent ses émotions...
your memories
« No more lies dude! »
« Born under the Brixton sun, his game is called survivan. »
« Dis-moi Caleb, pourquoi tu as frappé ton frère ?. » Je regardais l'assistante sociale avec mes grands yeux bleus du haut de mes neuf ans, sans ciller ni même dire un mot. J'aurais pû lui dire que je l'avais frappé parce qu'il m'avait traité d'idiot, parce que il avait déchiré l'un de mes dessins sous mes yeux, ou n'importe quelle autre raison, ça n'améliorerait pas mon cas. Un mince sourire sur les lèvres, je regardais le gosse en question, mon soit-disant frère. « J'ai pas de frère. » dis-je lentement en regardant son œil au beurre noir et son bras dans le plâtre. Je ne pus me retenir de ricaner sous les yeux de ma famille d'accueil et de l'assistante, tous médusés. On me regardait comme si j'étais le diable en personne, je m'attendais même à ce que l'un d'entre eux brandisse une croix sous mon nez et me balance de l'eau bénite à la figure. Qu'est-ce que j'aurais ri ! « Il est tombé dans les escaliers. » dis-je en reprenant mon sérieux, fixant à nouveau la femme en face de moi qui prenait des notes. Des notes pour quoi ? Pour dire que j'étais dérangé ? Qui croirait ça en voyant mon visage angélique, mes yeux d'un bleu profond et mes traits si fins ? Il ne faut pas se fier aux apparences. Je ne faisais pas plus de trois mois dans une même famille d'accueil, ils baissaient les bras généralement au bout d'un mois, mais ils gardaient l'espoir. Quel espoir ? Y'a pas d'espoir pour un gamin comme moi. J'étais voué à être trimballé de famille en famille, en espérant pourquoi pas tomber sur plus con que moi. Mais non, j'ai toujours attendri les parents les plus naïfs, stéréotype de la famille parfaite, une grande maison, un enfant unique chéri frôlant la perfection, et le pauvre petit orphelin qu'on espère remettre sur la bonne route, en lui demandant de prier à chaque repas, ayant comme seule exigence d'aller à la messe tous les dimanches. C'est peut-être parce que mes parents -ou les trucs qui ont essayés de m'élever pendant six ans- avaient décidés de me donner Eden comme second prénom; paradoxal pour un gamin qui est un véritable enfer à vivre. On me considérait comme asocial et violent, toujours la tête dans mes dessins ou bien en train de regarder les gens, les détaillant, essayant d'apprendre leur vie juste à leur façon de marcher, de parler, d'agir. Les étudier pour trouver leur points faibles et ainsi mieux les blesser. J'agissais en silence, je ne m'intéressais pas à eux et je ne cherchais pas à être entouré, soutenu ou je ne sais quel besoin social encore. La solitude me convenait, je m'exprimais à travers mes dessins ou plutôt mes dessins étaient ma seule compagnie. Plus les familles défilaient, plus on écrivait de choses dans mon dossier : violent, insolent, asocial, têtu, agressif, lunatique; la liste est longue.
« The world I love, the tears I drop, to be part of, the wave can't stop.»
J'ai quitté Brixton et l'Angleterre à mes treize ans, après avoir fait le tour des familles d'accueil de presque toute la Grande-Bretagne, la dernière a décidé de m'envoyer en foyer d'accueil. Et là, c'est pas la même histoire. J'ai beau jouer au petit con, j'ai trouvé plus fort que moi. C'est pas pour autant que je m'arrête; essayez d'arrêter un train en marche en vous plaçant sur les rails, le train vous passera dessus malgré tout. J'ai été envoyé dans un foyer à New-York, réputé pour sa rigueur et ses résultats dits "les meilleurs des Etats-Unis". Bien sûr, une belle phrase d'accroche, laissez-nous votre gosse et on vous le rendra parfait. Conneries. Le temps que j'ai vécu dans ce foyer a été le pire de ma vie. Ils avaient leur façon de nous remettre dans le droit chemin : en nous battant, nous humiliant et tout ce que vous pouvez imaginer encore. J'ai réussi à me barrer de ce foyer un an après que j'y sois rentré et croyez-moi, un an, c'est long, très long. Mon corps s'en souvient encore, les traces que j'ai dans le dos ou même sur le torse, ça ne s'effacera pas. C'est dans ma peau et ça y restera. De nouveau, je fus trimbalé de famille en famille, visitant le pays par la même occasion. J'avais seize ans quand j'ai fait mon premier tatouage. Un de mes dessins. Que voulez-vous faire quand vous êtes cloitrés "chez vous" avec une famille qui vous regarde d'un air désespéré parce que vous ne dites pas un mot, vous contenant de dessiner et de rester dans un coin, observant tout ce qui se passait sous vos yeux ? J'étais peut-être moins violent et agressif, mais j'étais toujours aussi têtu et lunatique, si ce n'est plus. Le peu de fois que j'ouvrais la bouche, c'était pour hurler. Dégueuler sur ce monde qui m'écœure, sur cette vie -si on peut appeller encore ça comme ça-. Au fond, j'étais juste un gosse perdu, je crois pas que je voulais être méchant, mais j'ai pas lutté contre. Il est tellement plus aisé de faire souffrir que de se tuer à essayer de faire le bien autour de nous.
« I need an anchor that never lets go, I need someone to call, hear a voice I know. Something that feels like home.»
Ca fait maintenant deux ans que je vis à Chicago. Ma dernière famille d'accueil a été ici, et c'est bien la seule envers laquelle je suis reconnaissant. C'est pas comme si j'avais essayé de les faire craquer, plus d'une fois j'ai dormi dans la rue. Mais eux, ils se contre fichaient de me voir revenir avec un nouveau tatouage, m'entendre insulter n'importe quoi à tout bout de champ, ils ne s'étonnaient pas de ne pas me voir sortir de ma chambre pendant trois jours, ou très peu, tellement je bossais sur mes dessins. C'était une passion pour moi, même plus. Je m'étais raccroché à ça, c'est ce qui me permettait de ne pas lâcher le peu d'espoir que j'avais. Bourré d'ambition, je rêvais d'être reconnu, ou au moins de vivre de mes dessins. Cette famille a réussi à m'inscrire à l'université, malgré le dossier que je trimballais derrière moi. Elle a tout fait pour ma réussite, ayant toujours espoir en moi. J'ai eu mon propre appartement, j'ai dû me dégotter un job pour pouvoir payer mon loyer; j'étais tatoueur dans un petit studio du coin. Ca me suffisait, parce que je faisais ce qui me plaisait. Puis y'a eu elle. Je sais pas ce qui m'a attiré en premier, si c'était son air de gamine perdue, planquée sous ses cheveux blonds et roses, ou sa voix. Son air de peste quand elle dévisage tout ce qui lui passe sous les yeux. J'étais pas du genre à coucher à droite à gauche, je prônais pas l'amour éternel et infini non plus, j'ai eu des aventures comme tout le monde, mais rien de palpitant. C'était pas ce que je cherchais. Je croyais pas en l'amour, aux sentiments et tout ça, comment j'aurais pu y croire après tout ce que j'ai vécu ? J'ai toujours été froid, solitaire et méprisant. Y'avait un truc dans sa façon d'être, son accent new-yorkais, j'en sais rien putain mais ça m'a de suite attiré. J'avais passé la journée à la regarder, le cul cloué sur ce trottoir, l'observant tout comme elle m'observait. « Tu m'intrigues.» Je lui avais dit ça de but en blanc, sans me présenter ni même lui adresser un regard, simplement en m'asseyant à côté d'elle. J'étais pas le genre de mec à passer par quatre chemins, et puis à quoi ça aurait servi après tout ? « Tu m'indiffères.» m'avait-elle répondu en m'adressant un regard, avant de s'allumer une clope. Je me rappelle que ce jour-là, j'ai sourit. C'est con et naïf venant de ma part je sais bien, mais... C'est pas descriptible. Plusieurs mois plus tard, je la recroisais à l'université, toujours à l'écart plus ou moins de tout le monde, mais toujours près de ce mec, ce grand brun qui surveillait ses moindres faits et gestes, ça se voyait dans ce regard qu'il aurait fait n'importe quoi pour elle. N'importe quoi. Sa bande me remarqua, et m'embarqua avec eux. Lui, il s'appelait Ash. Et elle, c'était Chocolate. Prénom bien trop édulcoré et doux pour une fille comme elle, à mon avis. Avec le temps, ma réflexion a changé, évolué : elle était bien comme ça. Douce, drôle, passant de l'indifférence totale à un intérêt démesuré en quelques secondes. Son rire si cristallin, sa voix qui est prête à se briser à la fin d'une phrase. Et son sourire. La liste pourrait être longue, c'est clair. Mais j'peux pas. Alors je joue d'elle, comme elle joue de moi, on se déteste à la folie. On s'observe silencieusement, discrètement, épiant chaque geste ou chaque mot qui sort d'une bouche. « Tu m'indiffères.» lui avais-je soufflé à l'oreille le premier soir où j'ai décidé de la rejoindre en pleine nuit, dans son lit. « Tu me fais chier.» m'avait-elle répondu en se blottissant un peu plus contre moi. On passe nos journées à s'insulter, à se détester, se haïr pour mieux s'aimer peut-être. Mais je la rejette aussitôt que cette pensée traverse mon esprit. J'peux pas, j'peux pas. Puis y'a eu la mort, le suicide ou le meurtre de ce professeur, comme vous voulez, et ma bande a été directement assumé, presque lapidée dans le campus. On était distants de tout le monde, certains étaient plus solitaires que d'autres, quasiment asociables, alors ça ne pouvait être que l'un d'entre nous. C'était gravé sur notre front "meurtriers".
♣ Manoush'ka/17 ans
♣ Fréquence de connexion ?
4/7
♣ Code du règlement ?
[Never] [trust] [appearance]
♣ Autre ?
le forum déchire sa grand-mère en slip, donc je lui fais l'amour. ♥
♣ Exemple de RP ?
Spoiler:
“ Tu crèveras de cette merde un jour, Rose ” “ Zara ? Tu ferais mieux de faire un autre rail, d'accord ? ” J'avais raison. Je le savais, et elle n'avait jamais, jamais voulu m'écouter, qu'elle soit clean ou défoncé, c'était toujours la même histoire. A cette époque, j'étais la petite Zara naïve, obnubilée par le fait d'avoir retrouvée ma jumelle qui me bouffait ma vie. J'avais quitté la petite vie parfaite que je menais avec mes parents pour retrouver ma junkie de soeur, qui m'a faite devenir une droguée à mon tour, vivant pour sa dope tout simplement. Putain, je m'en mords les doigts d'avoir été aussi naïve, ça me rend folle qu'elle ait réussi à me manipuler comme ça. Comment j'ai réalisé qu'elle me manipulait ? Elle me l'a dit, tout simplement. Qu'elle m'utilisait pour mon fric afin d'acheter sa dope, avant de faire une crise blanche. Ce soir-là, je l'ai larguée dans les urgences, et je me suis barrée, fin de l'histoire. J'ai pas cherché à reprendre contact et si ça peut vous rassurer elle non plus. J'avais rien à me regretter, je la haïssais, j'étais indifférente pour elle. Alors quoi ? Elle est morte. J'étais en train de fumer mon énième joint, les mains tremblantes. J'arrivais pas à pleurer, ça m'était impossible tout simplement tellement j'étais déboussolée à l'instant. Anéantie, j'étais assise sur le canapé le regard posé sur la table basse où trônait la vodka. En moi, se mélangeait la haine et la tristesse, je ne savais plus quoi penser ni même quoi faire. Est-ce que je devrais prendre le premier avion pour Londres, rester là à fumer des joints toute la soirée et à boire de la vodka, pleurer, hurler, ne rien faire, rappeler ma mère ? Elle est morte, putain. A cause des ces conneries, auxquelles j'étais maintenant accro à mon tour. Elle-même me le disait, elle allait pas vivre vieille mais pas à 23 ans. Elle aurait pu s'en sortir de cet enfer si elle s'était pas retrouvée toute seule ce soir-là. Je m'en veux, je regrette tout : le mannequinat, l'université, Miami. J'ai envie de vomir tellement je me sens mal, tellement je me morfonds. Ça y est, je pleure. Je craque, je peux plus, je n'en peux tout simplement plus, c'est une accumulation de tout : le manque de sommeil, le manque de moral, la vodka et la beuh dans mon sang, cocktail détonnant.
Je sais que je vais pas réussir à m'arrêter, je pleure silencieusement alors qu'une envie d'hurler me chatouille la gorge, et que mon corps est secoué par les sanglots auxquels je ne résiste plus désormais. Je prends la bouteille de vodka qui est devant moi pour me servir un énième verre. Je n'espère qu'une chose, c'est qu'Allys ne rentre pas maintenant, parce que je sais qu'avec elle, mon état va gravement empirer. S'il vous plaît, sortez moi de ce cauchemar. J'entends quelqu'un toquer à la porte, c'est bien le moment, je suis totalement en état de recevoir quelqu'un, le visage trempé de larmes, habillé avec un simple jogging et un pull bien trop large pour moi. J'essaye de me calmer pour avoir la force de me sortir du canapé tant bien que mal et me traîner à la porte que j'ouvre rapidement, sans même regarder mon interlocuteur pour retourner sur le canapé. Ça peut être n'importe qui, j'en ai strictement rien à foutre finalement, ça ne m'empêchera pas de sortir la coke de mon pull et de me faire un rail. Permettez-moi d'oublier tout.
Dernière édition par Caleb E. Cale le Mer 21 Déc - 15:47, édité 7 fois
Maisy-Blue Donovan
Inscrit(e) le : 25/04/2011 Messages : 126
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 20:25
HAN *0* tu lui fait l'amour à notre forum (aa) Bienvenue (a) Bonne chance pour la suite de ta fiche, et si tu as des questions le Staff est là
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 20:30
Oui, et plus s'il le faut (a) Merci beaucoup ♥
Siloë P. Lianie
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 115
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 20:36
ton avatar, ton titre ♥ pffff c'est nous qu'on t'fait l'amour ouai annnh *o*
Bienvenue & bon courage pour ta fiche hihi, si tu as une question .. n'hésite pas. looove
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 21:24
Je serais votre esclave love² sale sale !
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 22:11
Bienvenue!!!
E. Cléa Anderson
Inscrit(e) le : 30/11/2011 Messages : 115
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 22:16
Je suis pour que tu fasses l'amour à notre forum *w* Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Dim 18 Déc - 23:25
pfiou, merci à vous deux ! ♥
Siloë P. Lianie
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 115
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 0:54
il fait l'amour qu'à moi d'facon ♥ *siffle* enfaite nan, t'va te faire disputer par jaime sinon ahahah.
A. Jaime Keys
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 54
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 10:18
Rêvez tous il devient homo et à moi et puis c'est tout (a) Ash quoi c'est le troisième homme de ma vie Bienvenue *o*
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 16:02
calmez-vous mes amours, y'en aura pour tout le monde normalement & comment ça seulement le troisième ? je valide pas ! qui sont les deux autres ?! ah, et merci, accessoirement (a)
A. Jaime Keys
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 54
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 16:10
Troisième mais au même niveau, et bien Francisco & Marlon (a) Puis c'est de ta faute tu te partages à trop de monde :O
Siloë P. Lianie
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 115
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 16:19
de toute façon moi j'épouse jaime&caleb s'tout pas de chichi ♥ allez on arrête d'pourrir sa fiche hein ! *siffle*
A. Jaime Keys
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 54
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 16:28
Toi tu te tais tu restes à la maison, et tu laisses les hommes faire ce qu'ils veulent entre eux (a) J'aime ton avatar Caleb - tu vois je pourris pas sa fiche -
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 16:42
aaaah, ma générosité légendaire me perdra & non, pourissez ma fiche, j'vous pourrirais tout court après, mais avec tout plein d'amour de partout
Siloë P. Lianie
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 115
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 23:17
J'ai validé ton code, bon courage pour la suite de ta fiche ♥.
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Lun 19 Déc - 23:30
merci beaucoup, je pense finir ma fiche demain ♥
Invité
Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Mer 21 Déc - 15:54
désolée du dp, mais j'ai fini ma fiche (a)
Siloë P. Lianie
Inscrit(e) le : 20/08/2011 Messages : 115
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres. Mer 21 Déc - 16:48
owiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii pourri moi d'amour ♥
C'est avec une joie énorme que nous validons ta fiche de présentation, tu as réussi cette épreuve avec brio et tu fais désormais partie des membres officiels de CT.
Cette fiche sera désormais verrouillée par nos soins et tu seras envoyé(e) dans le groupe de ton choix.
Il t'es maintenant urgent de te trouver un toit sous lequel dormir , pour cela, fais ta demande de logement ici ta demande se trouve par là. Tu peux ensuite créer ta fiche de lien dans cette partie ainsi que ton listing de topics.
La team ♕ te souhaite une bonne intégration et restes à ta disposition en cas de besoin
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Sujet: Re: EDEN ✝ l'enfer c'est les autres.
EDEN ✝ l'enfer c'est les autres.
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